Écrivain, historien d’art, Nicolas Chaudun imagine dans un polar raffiné des crimes liés aux chefs-d’œuvre du Louvre protégés au château de Sourches, à Saint-Symphorien (Sarthe), pendant l’Occupation.
Le Maine Libre : « Mortel bouquet » (Les Presses de la Cité) s’inspire de la mise à l’abri pendant la Seconde Guerre mondiale de chefs-d’œuvre du Louvre au château de Sourches. En arrière-plan, vous révélez un premier exil méconnu de ces œuvres en 1871 pendant la Commune. Sur cette trame authentique vous nouez une intrigue policière liée à la Sarthe ?